Pour anticiper et améliorer vos délais d’encaissement, l’utilisation d’un logiciel de gestion CRM, 100 % Cloud, avec un logiciel de facturation intégré, est incontournable pour minimiser les risques. Il vous permet de mémoriser tous vos clients et de suivre chaque interaction avec eux pour réduire vos délais de paiement. Explications en 5 étapes pour vous guider pas à pas.
"Comme le dit le proverbe, les conseilleurs ne sont pas (toujours) les payeurs.
Pour les petites et moyennes entreprises, l’impact des retards de paiement de factures par leurs clients peut être fatal. Pour celles qui ne sont pas alimentées par des rentrées d’argent régulières, les variations de trésorerie ont des répercussions directes sur leur activité.
Productivité en berne, démotivation et désengagement des collaborateurs, les retards de paiement conduisent les entreprises sur les premières marches de l’échafaud. Notamment les plus petites structures trop vulnérables pour résister.
Si, en 2017, les délais de paiement ont eu tendance à se réduire, toutes les entreprises ne sont pas à mettre dans le même panier. C’est en effet ce que souligne le baromètre ARC-Ifop publié au deuxième trimestre 2018 : les retards de règlement des factures dans les PME explosent !
En 2017, ces dernières ont payé leurs fournisseurs avec 14,5 jours de retard en moyenne, au lieu de 11,8 en 2016. Un délai qui s’ajoute à celui clairement stipulé par la loi, à savoir, ne pas dépasser 45 jours fin de mois ou 60 jours après la date d’émission de la facture. Pourtant, le délai contractuel avoisinait en moyenne 50 jours au cours du deuxième trimestre 2017. Et, peu d’entreprises osent appliquer des pénalités de retard, pourtant légales et légitimes, par crainte de perdre leurs clients…
Pourtant, depuis la loi relative à la consommation du 17 mars 2014, le ton a durci : des sanctions tombent pour tenter d’enrayer cette spirale infernale. En 2015, la chasse aux mauvais payeurs continue, Bercy instituant une politique de dénonciation, le Name & Shame, pour pointer du doigt et épingler publiquement les entreprises récalcitrantes. Une pratique qui s’intensifie et inflige de très lourdes amendes à celles en queue de peloton.
Mais « nommer pour punir », est-il suffisant ? Faire porter le bonnet d’âne aux entreprises dites « coupables » sur la place publique fera-t-il changer les comportements des mauvais élèves ? Car, malgré ces mesures gouvernementales énergiques, l’augmentation des délais de paiement continue de menacer dangereusement la trésorerie des entrepreneurs.
Face à cette préoccupante situation, il existe des solutions faciles à déployer pour réduire les délais de paiement, afin que l’entreprise puisse se consacrer à son cœur de métier, sans avoir une épée de Damoclès au-dessus de sa trésorerie."