Un livre blanc qui vous explique les avantages du DtoC, ou Direct to Consumer, dans le contexte inédit de la crise sanitaire.
"DtoC, cela vous parle ou est-ce seulement un acronyme obscur ? Vous l’avez pourtant probablement déjà lu dans un article ou entendu au détour d’une conversation, il s’agit du Direct To Consumer, autrement dit la vente directe au consommateur.
Ce modèle, loin d’être récent, fonctionne en réduisant voire supprimant les différents intermédiaires tels que les distributeurs, de sorte à s’adresser directement aux futurs clients. Le vendeur peut ainsi réaliser une meilleure marge et surtout acquérir de la connaissance clients.
Mais si cela semble attractif et abordable tourné sous cet angle, la mise en œuvre est un vrai challenge à relever et surtout à bien préparer !
Confinement : une modification de la consommation
Après l’annonce d’une période de confinement à durée indéterminée, le pire scénario se dessine pour les entreprises : une fermeture forcée pour la grande majorité, jugée du jour au lendemain comme non nécessaire à la vie du pays. Passé le choc, le doute s’installe mais aussi l’inquiétude souvent mêlée à l’incompréhension : comment en effet préparer son avenir alors que le présent est lui-même incertain ? Comment continuer à faire du chiffre d'affaires ?
Quant aux établissements qui ont pu continuer à exercer, la tâche ne s’est pas avérée facile pour autant. Lorsque l’approvisionnement se fait presque directement à l’étranger, la fermeture des frontières mais aussi des entreprises impacte fortement l’offre. Et quand bien même les fournisseurs se trouvent sur le sol français, il suffit d’un maillon manquant pour que toute la production se retrouve à l’arrêt, comme cela a été le cas avec la farine, faute de contenant. Ajoutez à cela un accroissement de la demande, dirigé par une peur du lendemain, et voici la rupture de stock qui s’installe."