Pourtant, derrière « la » facture électronique, se cache en réalité une pluralité de situations bien plus complexe, selon les secteurs d’activités, la taille des entreprises, les usages et les contraintes métier.
"La réforme de la facture électronique s’est imposée à l’agenda des entreprises, avec un horizon 2026 – 2027 et un cadre général désormais bien établis. Pourtant, derrière « la » facture électronique, se cache en réalité une pluralité de situations bien plus complexe, selon les secteurs d’activités, la taille des entreprises, les usages et les contraintes métier. La facturation électronique n’est pas un sujet monolithique. Au-delà de l’usage commun, s’ajoutent une multitude de cas d’usages plus spécifiques tels que l’affacturage, la gestion des notes de frais, des notes de débit et bien d’autres encore… 36 cas de facturation spécifiques ont été identifiés par la Direction générale des Finances publiques (DGFiP) et l’Agence pour l’informatique financière de l’Etat (AIFE) en collaboration avec les entreprises et éditeurs de logiciels.
Pour vous guider dans votre transition, ITESOFT et RSM ont décrypté 10 de ces cas, parmi ceux que les entreprises rencontreront le plus souvent. Pour chacun, sous forme de fiches pratiques, vous y découvrirez ce que prévoit la réforme et comment vous y préparer afin de garantir votre conformité et votre efficacité. Bonne lecture !"
