Ce livre blanc examine les conséquences que les responsables des RH et de Finance observeront sur leur infrastructure informatique et leurs résultats financiers, maintenant que nous entrons dans cette « nouvelle norme ». Nous passons également en revue les étapes que les directions peuvent entreprendre pour veiller à ce que chaque transition se déroule sans encombre.
"À l’heure actuelle, il est encore trop tôt pour prédire les effets du COVID-19 sur notre société. Toutefois, selon une estimation des Nations Unies, la pandémie pourrait coûter 1 billion de dollars à l’économie mondiale en 20201. Mais si les 75 dernières années et les chiffres récents2 nous ont appris quelque chose, c’est bien que l’économie mondiale s’en relèvera.
Dans l’immédiat, les organisations du monde entier recherchent des moyens de traverser la tempête et de développer des stratégies pour s’adapter à la nouvelle méthode de travail « normal ».
La pandémie a contraint les entreprises à faire preuve de plus de flexibilité pour suivre l’évolution des conditions de travail. Ainsi, les systèmes d’information ont fait l’objet d’une attention accrue pour supporter les salariés à domicile. Et au fur et à mesure que le monde revient à un nouveau mode de travail “normal”, les entreprises doivent plus que jamais utiliser ces systèmes et processus afin que leurs collaborateurs puissent à l’avenir continuer de travailler de manière flexible.
Bon nombre d’organisations maintiennent le travail en distanciel ou appliquent un système hybride, en limitant le temps passé au bureau. Certains collaborateurs évoluent vers un travail à domicile permanent et se rendent uniquement dans des espaces partagés pour des réunions en présentiel importantes.
Cette méthode de travail « fluide » signifie que les équipes des RH et de la finance doivent relever de nouveaux défis et traiter une myriade de nouveaux types de notes de frais inexistants avant la pandémie. Avec l’émergence du travail à domicile, les entreprises recevront sans aucun doute davantage de notes de frais de collaborateurs, puisque se rendre au bureau devient une exigence additionnelle en plus de leur contrat de travail. Et il est préférable qu’elles s’y préparent."