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L'état actuel de la sécurité Endpoint

Cette étude apporte une vision approfondie des problèmes de cybersécurité couramment rencontrés par les entreprises aujourd’hui, entre les ransomwares, les exploits et le Machine Learning, et permet de mettre en lumière les expériences et les projets futurs des responsables informatiques partout dans le monde. Ce rapport éclairant permet de mieux comprendre la position des professionnels du secteur sur ces questions.

  • EditeurSophos
  • Version PDF - 14 pages - 2018 - Français
L'état actuel de la sécurité Endpoint

Introduction ou extrait du livre blanc

"- 54 % des entreprises déclarent avoir été touchées par un ransomware au cours de l’année passée.

- Deux attaques de ransomwares en moyenne par entreprise.

- Coût médian par entreprise affectée : 133 000 $ (env. 100 000 €).

- Le secteur de la santé est celui qui a été le plus touché, suivi de l’énergie, des services professionnels et du commerce.

- L’Inde est le pays le plus touché, suivi par le Mexique, les États-Unis et le Canada.

- 77 % des entreprises possédaient une sécurité Endpoint à jour au moment de l’attaque.

- 54 % des entreprises n’avaient pas de protection spécifique contre les ransomwares.

Contrairement à la foudre, les ransomwares peuvent frapper deux fois au même endroit

Les ransomwares continuent de poser de réels problèmes dans le monde entier, avec 45 % des entreprises interrogées déclarant avoir été touchées l’année passée, et 31 % s’attendant à subir une attaque dans le futur. Contrairement à la foudre, les ransomwares peuvent, malheureusement, frapper deux fois. Les entreprises affectées ont en effet déclaré avoir subi deux attaques de ransomware en 2017.

Tandis que les entreprises ont été prises en otage par un ransomware dans la totalité des pays étudiés, l’ampleur des attaques varie de manière significative sur l’ensemble du groupe interrogé. L’Inde arrive en tête du classement des victimes, avec 67% des répondants touchés par un ransomware au cours de l’année passée. À l’inverse, en bas du classement se tient le Japon, avec une entreprise sur quatre (41%) ayant subi une attaque. Il semblerait que la barrière de la langue ait ici joué un rôle majeur, car les attaques de ransomwares sont souvent initiées par un email de phishing. En effet, le même email en anglais pourra être utilisé dans au moins six pays participants à l’étude, tandis qu’un email en japonais ne peut vraisemblablement être utilisé que dans une zone géographique limitée. Dans ce cas, la complexité de la langue permet aux Japonais de disposer d’une défense supplémentaire."

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