Selon une récente étude de Goldman Sachs, jusqu’à 44 % des tâches juridiques pourraient être automatisées1 , permettant aux professionnels du droit de se concentrer vers des missions à plus haute valeur ajoutée ou à plus forte dimension humaine.
"Selon une récente étude de Goldman Sachs, jusqu’à 44 % des tâches juridiques pourraient être automatisées1 , permettant aux professionnels du droit de se concentrer vers des missions à plus haute valeur ajoutée ou à plus forte dimension humaine. L’émergence des IA génératives se présentent ainsi avant tout une révolution au profit desclients.
Cette promesse répond par ailleurs aux nouvelles aspirations collectives : 56 % des Français attendent notamment des entreprises qu’elles utilisent plus l’IA pour améliorer la relation. Pour les 18-29 ans, ce chiffre atteint même les 73 %2 . Cet optimisme est très largement partagé par les professionnels du droit eux-mêmes. Un récent rapport de l’European Legal Tech Association (ELTA), en partenariat avec Lefebvre Sarrut3, rapporte que 77 % des professionnels du droit interrogés considèrent l’IA générative comme apportant une aide significative4. Loin de générer des peurs ou craintes, les IA génératives semblent au contraire être une source d’espoir pour nombre d’entre-nous, replaçant l’humain au cœur des collaborations et du conseil.
Avec ce livre blanc, Lefebvre Dalloz se propose d’analyser attentivement les apports et usages potentiels des IA génératives pour les professionnels du droit et du chiffre afin de les accompagner dans la compréhension de cette nouvelle révolution industrielle, et l’appropriation des opportunités inédites qu’elle apporte."
