Nous verrons quelles sont toutes les problématiques sous forme de questions/réponses que le slasher est en droit de se poser.
"Genre cinématographique qui met systématiquement en scène les meurtres d’un tueur psychopathe, généralement masqué, qui élimine méthodiquement un groupe de jeunes individus, à l’arme blanche.
Il n’est pas question de vous en parler ici.
Nous aborderons plutôt ce phénomène contemporain de société qui conduit près de 4 millions de français à exercer une double activité et ce plus particulièrement dans la Culture. Seul point commun avec cette double définition : le masque, car pour beaucoup, ces deux activités, à l’antipode l’une de l’autre, donnent naissance à deux personnages bien distincts.
C’est ainsi qu’émergent des agriculteurs/clowns, des scientifiques/ écrivains, des conducteurs de métro/chanteurs, des infirmiers/ photographes ... d’ailleurs la véritable origine du mot «slasher», dans le cas qui nous préoccupe, vient du symbole «/» (slash en anglais) qui sépare leurs différentes activités professionnelles.
Si pour 70 % des slashers, il s’agit d’un choix, pour les autres cela permet de compléter des revenus insuffisants... mais dans les deux cas, ce double emploi ou plutôt cette double activité soulève des problématiques juridiques, fiscales, sociales et de maîtrise de la notion de «Cumul» et de «Compatibilité». Nous verrons quelles sont toutes les problématiques sous forme de questions/réponses que le slasher est en droit de se poser. Le présent article se terminera par un tableau synthétique des différents cumuls et compatibilités des modes de rémunération et statuts."
