Fidensio compile dans ce document exclusif les attentes des entreprises avec des avis d'experts de l'immobilier pour vous donner les 5 clés pour des bureaux plus attractifs que le télétravail.
"La crise sanitaire a mis le télétravail en lumière.
À tel point que le sujet occupe de plus en plus de place dans les discussions, d’autant que le gouvernement Français l’a imposé lors des confinements. Entre les obligations législatives et les souhaits de chacun, le télétravail s’est donc incrusté dans le paysage, comme une alternative aux bureaux.
Toutefois, le passage au télétravail représente un coût, tant pour les entreprises que pour les acteurs de l’immobilier. Chez ces derniers, on observe une baisse du taux d’occupation des bureaux et une hausse des résiliations de bail anticipées.
Du côté des entreprises
Le passage au télétravail représente une charge à plusieurs niveaux, notamment la sous-occupation de leurs bureaux. Avant le premier confinement, la BNP observait que les postes de travail étaient déserts entre 35 et 55% du temps, un chiffre voué à augmenter pour l’après-COVID.
Le télétravail a également posé des défis pour le bien-être des employés. Lors du premier confinement, 54% des télétravailleurs ont estimé qu’ils n’avaientpas bénéficié d’un accompagnement suffisant de la part de leur employeur. Dans le même temps, 43% déclaraient ne pas avoir bénéficié d’un environnement propice au télétravail.
De plus, le télétravail a pu être mal vécu pour certains, sachant qu’on ne peut négliger la source de stress qui découle des situations d’isolement. D’après l’enquête réalisée par Harris Interactive du 4 au 8 novembre 2020 pour le ministère du Travail, 58% des salariés qui ont télétravaillé à 100% préfèreraient venir au moins un jour par semaine au bureau.
40% des salariés interrogés se sentent isolés et 30% déclarent mal vivre le télétravail au quotidien."
