Les SAE modernes se voient enrichis de nouvelles fonctionnalités déterminantes pour assurer la pérennité et l’efficacité de ceux-ci. Elles vous seront exposées dans la suite de ce document.
"L’archivage électronique dans les entreprises en France est une pratique établie qui n’est plus remise en cause, ce qui n’était pas le cas il y a encore une dizaine d'années. Il était fréquent, à cette époque, de devoir expliquer la distinction entre une GED et un SAE ou même entre de l’archivage et de la sauvegarde. Même s’il subsiste des “poches de résistance”, nous constatons une généralisation de la mise en place des systèmes d’archivage électronique et ce, quel que soit le secteur d'activité.
Le périmètre essentiel d’un système d’archivage électro - nique (SAE) est aujourd’hui bien connu et s’articule, pour l’architecture logique, autour de la norme OAIS (ISO 14721) et, pour les exigences technico fonctionnelles, sur la norme NF Z 42-013 (version 2020).
Néanmoins, ce serait une erreur de limiter le rôle et le potentiel d’un système d’archivage électronique uniquement à cela. Notre époque est confrontée à de nombreux challenges autour de l’information numérique, les entreprises font face à un accroissement sans précédent du volume d’information reçu ou produit quotidiennement et stocké dans des outils hétérogènes et répartis. Les risques en termes de sécurité et de cybersécurité, les réglementations métiers ou autour des données à caractère personnel ou encore les objectifs RSE imposent une approche totalement différente de la gestion de l’information et particulièrement de l’information à archiver."
