Exposer les écarts entre la création de la politique de destruction de données et son exécution.
"La quantité de données générées chaque jour par les particuliers, les entreprises et les gouvernements est immense. Par exemple, plus de 100 milliards de messages privés et d’entreprise sont partagés chaque jour sur Facebook uniquement, et il ne s’agit que d’une seule plateforme. Il en résulte des océans de données dont les entreprises peuvent tirer une réelle valeur commerciale et grâce auxquelles elles peuvent prendre de meilleures décisions commerciales. Ces données sont une ressource essentielle dans la nouvelle économie numérique. Cependant, leur stockage, entretien et déplacement comportent des risques et des obligations potentielles.
Pour gérer ce déluge de données, les régulateurs ont créé et ajusté des lois, des directives et des directives gouvernementales pour assurer la protection des données, établissant des réglementations sur la confidentialité des données telles que le RGPD (Règlement général sur la protection des données de l’UE) et le CCPA (California Consumer Privacy Act), ainsi que de nombreux autres règlements similaires dans le monde. Ces réglementations ont incité de nombreuses entreprises à mettre en œuvre des politiques, des processus et des solutions technologiques pour assurer leur conformité. C’est encourageant de constater que ces politiques existent, mais, à y regarder de plus près, il y a d’énormes écarts entre les politiques existantes et la façon dont elles sont communiquées, exécutées et appliquées. En effet, les processus et solutions adéquats ne sont pas toujours mis en place."
