Dans ce rapport, Egencia étudie les importantes sources de revenus souvent associées à une gestion en face à face des voyages d'affaires, mais aussi les coûts induits par cette approche, en particulier ceux liés au manque de visibilité des données et aux réservations faites en dehors du programme voyages.
"Pendant des années, on a pensé que le travail du directeur financier et du directeur achats se cantonnait à négocier des prix et/ou équilibrer des budgets. Mais leur rôle a bien évolué depuis. Aujourd'hui, ces personnes pèsent davantage dans la définition de la stratégie d'augmentation du chiffre d'affaires, de rentabilité et d'efficacité de l'entreprise. Autant de nouvelles responsabilités qui ne les déchargent pas pour autant de leur mission principale : la maîtrise des dépenses.
Une question se pose alors : comment réussir à s'adapter aux responsabilités croissantes de leur poste et à les assumer facilement ? L'unification et l'amélioration des processus existants par la technologie représentent une solution.
Les directeurs financiers et achats ont déjà adopté l'approche technologique pour réduire les coûts et rester compétitifs. C'est ainsi que les options basées sur le cloud ont remplacé les centres de données et que les téléphones VoIP ont supplanté les lignes téléphoniques traditionnelles. Malgré tout, pour les réservations de voyages, de nombreuses entreprises continuent de privilégier la méthode classique et appellent directement un agent de voyages ou gèrent manuellement les voyages des employés.
Pourquoi ? Parce qu'elles n'ont pas encore conscience qu'en se dotant des bons outils, elles peuvent optimiser leurs programmes voyages tout en diminuant les coûts. Les processus obsolètes coûtent cher s et provoquent un mécontentement des voyageurs, et ce, sur le long-terme.
