Ce livre blanc traite de l'importance du digital vis-à-vis de la fraude.
"Avec l’essor du numérique, les échanges de documents se font de plus en plus via les canaux digitaux, des usages innovants se développent et de nouveaux risques apparaissent… C’est notamment l’augmentation des risques de fraude qui préoccupe les entreprises.
64% des décideurs avancent un fort besoin en matière de gestion du risque de fraude avec le digital, qu’il s’agisse de fraude à l’identité, aux moyens de paiement, aux documents… La fraude documentaire serait la troisième industrie criminelle au monde, avec des conséquences notamment économiques importantes, poussant entreprises et Etats à se doter de dispositifs de lutte adaptés.
Pour les entreprises émettant des documents, divers procédés peuvent être utilisés pour les sécuriser. L’insertion de codesbarres ou de cachets électroniques de type 2D-Doc permet ainsi de garantir l’origine et l’intégrité des données contenues dans un document. Néanmoins, si le procédé est prometteur et bénéficie du soutien de l’ANTS , il n’est encore que peu déployé en France début 2016. Mais le problème est surtout du côté des documents entrants : ceux qui n’ont pas été émis et sécurisés par l’entreprise au préalable mais dont elle a pourtant besoin pour instruire ses dossiers (un justificatif de salaire par exemple dans le cadre d’une demande de prêt bancaire)."
