"Pour cette édition 2011, nous avons voulu nous concentrer plus particulièrement sur leur retour dans leur pays d’origine, stade pour eux non plus d’apprentissage mais de maturation qui doit permettre, en principe, à l’entreprise qui a investi pour leur départ à l’étranger, de les rentabiliser, de tirer parti de leur savoir-faire à l’international, bref de leur “valeur ajoutée“ pour peu que les structures et les relais nécessaires à cela fonctionnent au siège.
Il ressort de cette enquête que 68 % des expatriés ne se sentent “plus tout à fait la même personne” au retour, notamment en terme de “connaissance des cultures, de tolérance, d’ouverture d’esprit”… C’est déjà cela découvrir les vraies richesses de la mondialisation."