"A l’ère de l’hyper-concurrence, l’économie du partage définit de nouveaux repères.
Les habitudes d’achat muent avec un consommateur qui recherche toujours plus de sens et d’émotion. Face à ces changements, les enseignes tentent d’évoluer en partant de leurs valeurs, afin de mieux fidéliser leurs clients.
La fidélisation a la possibilité de prendre un virage militant : plus elle est engagée, plus elle est engageante.
(...) De nos jours, les programmes de fidélisation connaissent une situation de « semi-échec ». Trop souvent, ils se limitent à générer du chiffre d’affaires récurrent en redistribuant de l’argent.
Les clients sont ainsi « fidélisés » par une recherche du prix le plus bas, mais malheureusement aucun attachement fort à l’enseigne ne se crée. Or, le contexte actuel de guerre de prix incite les enseignes à se reposer les questions fondamentales : que signifie « fidéliser » ? Quelles sont les limites des programmes de fidélisation actuels ? Et quels sont les dangers du manque de reconnaissance des clients fidèles ?"